Tant de fleurs sont superbes ; formes, couleurs, parfums… Mais, je ne sais pourquoi, la rose reste à mon cœur comme une reine en mon jardin intérieur… Peut-être parce qu’elle exprime, de si merveilleuse façon, la délicatesse féminine… Loin de tout machisme,...

Catherine l’a nommée ainsi… Oh combien elle a raison ! L’infiniment petit et l’infiniment grand se confondent dans une même beauté, une même sérénité pour nos yeux… Je voudrais que les yeux d’enfants puissent s’émerveiller devant les créations de la vie...

Il vient souvent se poster, là, au coin de mon balcon… Il ne manque pas d’air, sur la place aux Aires… Il a l’air, comme ça, quelque peu bougon… Mais, je vous assure, il est de caractère bien rond… Parfois, aussi, il vient sur le rebord de l'une des fenêtres…...

Je ne sais si ces deux-là sont amoureux… mais il me plaît à le croire, car à les voir ainsi, c’est ce qu’il me semble percevoir… Et quand bien même ils seraient frère et sœur, la scène est oh combien ! touchante, de beauté et de tendresse naturelles…...

Lorsque je vois la finesse de cette plante, mon âme est à la fois heureuse et sereine. Le génie de la nature, dans sa diversité, sa beauté, est sans limite… Lorsque je regarde ce que font les hommes, surtout les orgueilleux, je me désole, je suis triste...

Juste en bas de chez moi, voici la vision merveilleuse que j'ai, parfois... C’est, à mes yeux, une merveilleuse poésie, celle de la vie ; l’eau, les oiseaux, le bonheur dans la paix… Ah si, nous, les humains, nous savions en tirer les leçons ! Peut-être...

Petite fleur, oh combien fragile, oh combien délicate, perdue au milieu d’une terre aride, en altitude, là-haut, dans ma montagne du sud, tout près de Gourdon, tu m’as délivré un beau message… Tu as attiré mon regard et ma tendresse ; tu m’as dit : «...

Les poètes ont chanté les arbres… qu’ils soient petits ou grands, qu’ils soient arbustes ou dominants, qu’ils soient force ou faiblesse… « Auprès de mon arbre », chantait Georges Brassens… Oui, l’arbre, tu es vie, tu es l’ami des humains, l’hôte des oiseaux,...

Infinis vents et pluie font des larmes et des cris D’une nature épuisée comme ayant tout donné Ne sachant plus que faire ne pouvant plus se taire Tellement il est pressant de regarder l’instant Elle reconnaît la main qui aime le labeur Et embrasse le...

Je voudrais dire aux diplomates Toujours bien mis et cravatés De ne plus se voiler la face Et de ne plus traîner des pieds Je voudrais dire à notre presse Qu’à force de tourner autour Passé le beau temps des promesses La vérité perce toujours Je voudrais...